Décidément, la nouvelle clippeuse préférée de Rihanna, Mélina Matsoukas, qui a réalisé bon nombre des derniers vidéos clips de la chanteuse, la rend sujet à de nombreuses controverses, notamment en matière de plagiat.
 
Après s’être fortement inspiré d’un photoshoot réalisé par le photographe David LaChapelle pour réaliser le vidéo clip de « S&M » (voir ici), voilà maintenant que le récent vidéo clip de « You Da One » est lui aussi au coeur d’une affaire de plagiat. En effet, la superbe scène en noir et blanc où Rihanna porte une perruque rétro, et dans laquelle des patterns géométriques défilent sur son corps dénudé, provient directement d’un photoshoot réalisé par Sølve Sundsbø pour le magazine « Numero 93 » en 2008. La ressemblance est vraiment frappante, regardez tous les clichés en détails ici.
 
Aucune plainte n’a encore été déposée pour l’instant contre notre pauvre RiRi… Affaire à suivre.

Article directement tiré de | Rihanna-Diva.com |

Petite mise en bouche avant le week-end festif avec un nouveau quizz ! Vous n’êtes pas sans savoir que durant les cérémonies d’awards ou dans la vie de tous les jours, Rihanna est très souvent photographiée accompagnée. Saurez-vous reconnaitre les personnes à ses côtés sur les photos ?

 LES QUESTIONS SONT ICI

Un peu de lecture au programme aujourd’hui ! La traduction intégrale du « Vogue » version britannique datant de Novembre 2011 a été réalisée par l’équipe, nous espérons que ça va vous plaire. Bonne lecture !

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Princesse Riri, superstar devenu phénomène planétaire, elle a conquis le monde avec sa « classe personnelle ». Christa D’Souza a rencontré une femme platine qui a adopté une attitude d’adulte pour Vogue. Photographies par Alasdair McLellan
 
House of Fraser, Oxford Street, un vendredi après-midi avec un temps lourd. Depuis quatre heures maintenant, Rihanna – tout chaud descendue de son avion provenant de la Novège et en ville pour promouvoir son parfum, Reb’l Fleur – est sur pied, pour saluer et rencontrer ses fans. Comme frappé par ses tubes hypnotiques et insistants comme si elle pompait le système de son – « What’s My Name », « Rude Boy » et, bien sûr, « Umbrella » – une ligne de fans postés d’un bout à l’autre du magasin attendant docilement d’être appelés sur le podium. Comme d’habitude, elle a sa fidèle équipe veillant sur elle, parmi elle sa meilleure amie de la Barbade, Melissa Forde, sa main droite, Jennifer Rosales et son manager plus décontract qu’il n’y paraît, Jay Brown. Arborant des boucles auburn tombantes, un deux-pièces à plumes signé Antonio Berardi, et vacillant dans des Louboutins couleur chair, Rihanna est plus grande – beaucoup plus grande – que vous ne pourriez l’imaginer. A 1m78 en talons, elle a presque la taille mannequin, et elle domine avec bienveillance, comme Big Bird, chacun de ses fans. « Oh, merci beaucoup » dit-elle avec l’intonation gracieuse de la Barbade, tandis qu’un nouveau grand sac contenant un cadeau lui est timidement tendu.

Des centaines de gens se tiennent sur ce podium, y compris des personnes de l’ambassade Barbadienne (Rihanna est l’ambassadeur de l’île pour la jeunesse et la culture), chacun d’entre eux (j’écoute attentivement) en apportant son propre message personnel – pas de poignée de main ici. Mais à part une pause aux toilettes et pour se désaltérer, elle n’a pas arrêté, et il n’y a pas de signe d’affaiblissement chez elle. Elle est toujours terriblement sexy, ces Louboutins sont atrocement hauts, la courbe ne semble pas se terminer et on ne pourrait pas ne pas penser un instant à ce fim « They Shoot Horses, Don’t They ? ». « Bah, » dit Jason en haussant les épaules, son imposant manager de tournée. « Elle a l’énergie de…quelqu’un de 23 ans. Elle va bien. »
 
Finalement, les offres de cadeaux, les « tope là », et les prises de bébés dans les bras (et les réconforts – pour quelques fans tremblotant en larmes d’impuissance) se terminent. « Bien, » soupir Jay Brown, qui a attrapé un rhume, « allons manger », et immédiatement Rihanna, son entourage et moi passons à toute allure, précipités en arrière et montant les escaliers où un convoi de limousine argentées (et d’une autre masse de fans et de paparrazzi) attendent.
« Je t’aime Rihanna ! » crie une femme hystérique avant de se jeter sur le cordon, à l’ontérieur des bras, heureusement, de la sécurité. Pendant que Rihanna est escortée en sécurité sur un siège arrière, la foule est devenue sauvage, frappant sur les fenêtres de la voiture, se jetant sur le capot and suppliant d’être accepté à l’intérieur. « Et ça, c’était en fait un jour plutôt calme… » ricane Jennifer Rosales pendant que l’on s’éloigne à travers Oxford Street, une meute de fan toujours frénétiquement dans notre sillage.
 
Rihanna. Ou Princesse Riri, comme les fans l’appellent. Est-il possible qu’il y ait un être humain en vie sur Terre encore plus cool, plus sexy, plus génial, en ce moment ? Pourrait-il y en avoir un – avec cette peau caramel et ces yeux d’émeraude et cette taille de front, presque foetal – d’encore plus parfaitement formé ?
 
Mélangez Beyonce avec Grace Kelly avec Aladdin Sane avec un petit peu de poupée Bratz, et voilà, vous l’avez. Pas plus une « Madonna noire » (ce qu’elle voulait devenir en grandissant à la Barbade) qu’un avatar de vie réelle du 21ème siècle. Puis il y a cette voix basse, coriace, parfaitement mémorisable. Avec plus de 60 millions de single et 20 millions d’albums vendus, avec 7 millions d’abonnés sur Twitter et plus de 40,5 millions sur Facebook (c’est plus que Lady Gaga, comme n’importe quel membre du noyau dur du fanclub de Rihanna, la Rihanna Navy, vous le dirait), elle n’est plus juste une superstar à présent, elle est tout simplement un propre, un étonnant phénomène. N’oublions pas, non plus, son nouveau rôle d’égérie de Emporio Armani sous-vêtements et jeans. Ou ses débuts dans Battleship, le film d’action aux 200 millions de dollars dans lequel elle joue, aux côtés de Liam Neeson, l’officier naval Cora Raikes.
 
« Ouais, c’était marrant, il y avait ce moment ou je sortais de la mer et il [le réalisateur Peter Berg] ma fait garder ma casquette parce qu’il a dit que j’étais trop belle ! »
Comme Kanye West, l’une de ses nombreuses, nombreuses célébrités par lesquelles elle est admirée et par ses collaborateurs, a considéré une fois de manière rhétorique : « juste d’avoir ce niveau de pouvoir. Comment pourriez-vous le supporter ? Aucune femme ne devrait avoir un tel pouvoir. »
Il est 21h30, et je suis à Nozomi, l’un des restaurants préférés de Rihanna à Londres (avec Ochi Caribbean Takeaway sur Uxbridge Road). « Je déteste les sushis, » dit-elle, en faisant une grimace avec son délicat petit nez aux makis, « mais j’apprends morceau par morceau à les aimer. »
Mais pas aujourd’hui. Elle n’a pas mangé correctement depuis cinq jours, alors elle reste avec ce qu’elle connait : un filet de boeuf à l’américaine et du riz. « Excusez-moi, monsieur ? Est-ce que je pourrais avoir un coutau et une fourchette ? Je crois que je les ai laissés tomber par terre. »
 
Après avoir bien fait attendre le reste de la table deux heures pendant qu’elle retournait à sa suite au Savoy pour ce changer – et pourquoi pas ? – elle porte maintenant un jean (« J Brand ? Non chérie, Armani, bien sûr ! »), un simple t-shirt Alexander Wang et une veste couleur moutarde plutôt sage par Acne. Après le totalement futuriste, structuré « excessivement rembourré machin aux épaules », elle explique qu’elle préfère un look féminin, d’où les boucles à la Breck girl s’opposant aux côtés rasés et la houppe ou à la crinière bombe cerise à laquelle je m’attendais. Elle pourrait peut-être retourner au rouge « parce que les fans n’ont pas encore l’habitude de cette couleur » mais, comme chaque décision les cheveux de Rihanna, ça ne sera pas pris par elle mais décidé par vote, probablement autour d’une table de conférence à Roc Nation. (Roc Nation est le label de management fondé par Jay-Z qui s’occupe aussi de Beyonce et Willow Smith, parmi d’autres.) Il y a aussi des conversations de haut niveau à propos de sa couleur de cheveux à la Bonnie and Clyde, comme dans ces photos (ce sont des extensions, évidemment). « Mais je n’ai pas envie de devenir une attraction, » dit Rihanna, « parce que quand ça concerne quelqu’un, ce n’est pas juste. Je veux cultiver quelque chose qui fait partie de ma classe personnelle – ce que mon instinct me dit, c’est ce que je vais faire… »
 
Cette très « de son propre genre », « classe » plutôt sophistiquée, comme elle l’appelle, incorpore quelques stylistes britanniques. Mark Fast, par exemple, dont elle portait la marque lors de sa fête d’anniversaire en Février (une fête somptueuse et sauvage à laquelle ont participé 300 amis proches, incluant Snoop Dogg, Zac Efron, Ryan Phillippe et Mr et Mme Shwan « Jay-Z » Carter). Puis il y a Giles Deacon, dont elle portait la marque aux Brits, et Stella McCartney dont elle portait la marque au Met Ball (accompagnée d’une tresse bombe cerise lui arrivant à la taille), et qui est par la suite devenue une amie personnelle. « Elle est tellement amusante et inspirante, je l’adore. » Elle adore Christopher Kane, aussi. « Oh mon Dieu, quand je me suis réveillée et que j’ai vu la collection qu’il avait fait avec les gorilles ? J’étais comme, « qui sur Terre fait ce truc parfait ? » C’est le meilleur ! »
 
Féminine donc, avec un petit peu de tranchant – comme le délicat collier en or « Fuck You » qu’elle porte habituellement, mais pas ce soir, comme je le remarque. « Oh je ne peux pas croire que vous connaissiez ça ! » dit-elle, me frappant de manière joueuse l’épaule avec une plume noire.
 
« J’en ai aussi un qui dit « Salope » (Cunt, en anglais). »
 
Redis-le encore ?
 
« Oui, c’est marrant, ce mot est tellement offensant pour tous dans le monde sauf pour les Barbadiens. Vous savez que les Africain-Américains utilisent le mot « n… » pour leurs semblables ? Eh bien pareil pour le mot « c… ». Quand je suis arrivée ici pour la première fois, je le disait comme s’il n’était rien, comme, « Hey, salope », jusqu’à ce que ma maquilleuse me dise d’arrêter. C’est juste que je ne le savais pas. »
 
Rihanna est née il y a 23 ans, à Bridgetown, en Barbade. L’un des trois (elle a deux frères plus jeunes, Rajad et Rorrey), Robyn Rihanna Fenty est le produit d’un mariage rompu ; ses parents Monica Braithwaiter et Ronald Fenty, un ancien accro au crack, divorcèrent lorsqu’elle avait 14 ans. « J’en ai trop vu, » dit-elle, en buvant une gorgée de son verre de Gavi di Gavi. « J’étais trop mature pour mon âge. Je suppose que c’est pour ça que je suis devenue rebelle. Enfin, c’est ce que ma mère pense… »
 
Taquinée pour avoir une peau claire (son père est à moitié blanc), et méprisée des filles de son âge – « J’étais l’un des garçons, » dit-elle d’un haussement d’épaules, « Je n’ai jamais ressenti le besoin d’avoir des amies, jusqu’à ce que je rencontre Melissa. Melissa m’a appris à être une fille. » – Robyn n’aimait pas particulièrement l’école. « J’étais très intéressée par la grammaire, comme de mémoriser les temps et les conjugaisons, et tout ça, mais à l’école j’étais plutôt, « pourquoi est-ce qu’on doit apprendre l’anglais alors qu’on parle cette langue ? » »
 
Sa passion était de chanter. « Toutes ces divas, Mariah Carey, Janet Jackson, Whitney Houston – elles étaient mes héroines. » Et développant sa propre personne, une sorte de « classe » androgyne. Quand toutes les autres filles étaient en robes à volants et talons, elle s’habillait en polo Puma et Adidas avec le col levé. À un moment donné, elle et une amie s’inscrivirent au Cadet Camp, où vous faites 1000 pompes avant le petit déjeuner et où vous vous faites hurler par un caporal chef entrainé. Âgée de 15 ans, elle forme un groupe avec deux autre filles et par chance, elle est présentée par la mère d’un ami au producteur et auteur-compositeur Evan Rogers qui passait justement ses vacances en Barbade à ce moment-là. À l’âge de 16 ans, elle et Monica firent la navette en bateau jusqu’à la maison de famille Rogers à Stamford, dans le Connecticut, avec Rihanna encore habillée de son uniforme de collège, pour enregistrer une demo.
 
Jay Brown se souvient de la première fois où il est arrivé à l’audition avec Jay-Z, puis où il est devenu son patron à Def Jam Records. « La première fois que j’ai rencontré Rihanna en personne, elle marchait dans le bureau de Jay-Z, » se souvient-il, « et elle a commencé à chanter. À partir de ce moment, j’ai su qu’elle avait le potentiel pour être une star. C’est là où l’histoire a commencé. » Comme Jay-Z l’a dit dans le Vogue Américain : « Elle avait ce regard dans les yeux, cette détermination qui pouvait juste glacer une pièce. »
 
Jay Brown, Jay-Z et Tyran « Ty-Ty » Smith (le troisième associé chez Roc Nation) – Rihanna les appelle ses « anges gardiens gangsta ». Commes des pères de substitution ? « Oh oui, définitivement. Bien qu’en fait, peut-être qu’ils sont plus comme des grands frères parce que, les pères, au moins ils lâchent un peu leurs filles. Les grands frères, jamais ! »
 
« Je crois qu’elle sait qu’on prend vraiment soin d’elle à l’extérieur de la musique, » dit Ty-Ty, un ami d’enfance de Jay-Z qui était là à la toute première audition, qui a travaillé sur chaque single des albums de Rihanna et, comme je l’ai découvert plus tard, a été arrêté une fois pour une agression au troisième degré pour avoir aspergé de spray anti-agression la star du hip-hop R Kelly. « Nous ne faisons rien à moins que ce soit en son intérêt. Point. On l’aime vraiment. Comme si elle était notre propre petite soeur. Ou même notre fille, vous voyez ce que je veux dire ? Et elle le sait. »
 
Vous ne voudriez pas toucher à Rihanna. Ce qui nous amène, de manière ténue, à cette horrible nuit avant les Grammys, il y a deux ans et demi quand elle a été agressée par son ancien petit ami Chris Brown. Elle a ému son public à propos de ça, allant chez Diane Sawyer, chez Oprah, chez Tyra et oui, c’était horrible, mais comme le relève son tatouage ancré sur sa poitrine (son tatouage favori, il se trouve) : « Jamais un échec, toujours une leçon. »
Pour les vidéos – que certains pourraient qualifier de frisant la sociopathie – qu’elle a sorties depuis ? Par exemple celle de « Man Down », où elle abat un homme pour l’avoir sexuellement abusée ? Ou, en effet, pour celle du hit mondial « S&M » où elle se retrouve attachée et puis scotchée au mur avec film étirable ? Elle n’est pas une apologiste.
 
« Ce n’est pas moi, c’est un rôle que je joue, » insiste-t-elle souvent ? « Vous voyez, comme si c’était de l’art, avec tous ces jouets et ces textures avec lesquels jouer… »
 
« Vous voyez, les gens – surtout les gens blancs – veulent que je joue le rôle d’un modèle juste par la vie que je mène. Les choses que je dis dans mes chansons, ils l’attendent de moi et [jouer le rôle d'un modèle] est devenu plus mon travail quece que je voulais que ce soit. Mais no, je veux juste faire de la musique. C’est tout. »
 
« Regardez, Dieu ne vous ne donne pas plus que ce que vous ne pouvez supporter, » continue t-elle. « J’ai dû passer par de nombreux hauts et bas – de très grands bas – et de nombreuses épreuves et erreur m’ont mené là où je suis à présent. Vous savez, j’ai essayé tellement de choses, j’ai traversé des périodes difficiles pour avoir eu des gens qui ont édécidé pour moi. Maintenant, je n’ai personne d’autre qui décide pour moi. J’ai beaucoup de clarté dans ma vie à présent, plus que je n’en ai eu avant. Et c’est agréable de pouvoir être moi-même. »
 
La charnière est maintenant graissée, et « Only Girl (In The World) », son hit de l’an dernier, est en train de raisonner du système de son. Au moment où deux blondes tremblantes s’approchent de la table pour présenter leur respect, les gardes du corps de Rihanna ressemblant à des montagnes se dressent soudainement menaçants derrière elles, demandant sans un mot si Rihanna veut qu’on les écarte.
 
« Aww, pas de problème, c’est bon, merci beaucoup, » dit-elle, tendant un bras, plus sincère et gracieuse que jamais, avant d’ajouter pendant que les jeunes filles retournent à leur table, « Hey, elles ne seront jamais authentiques avec vous si vous n’êtes pas authentiques avec elles, n’est-ce pas ? »
 
Pendant que des makis et des mojitos et du vin en plus sont apportés à table, nous parlons de ses futurs projets. Comment, après le concert de ce weekend au V Festival elle, Melissa et Jennifer ont loué un énorme yacht pour naviguer dans le Sud de la France pour pendant une semaine. Juste une semaine parce qu’après elle doit être de retour en studio d’enregistrement pour finir son sixième album. Les vacances sont en quelque sorte un truc de filles – son entraîneuse, Ary Nuñez, une experte en karaté, a été invitée, en tant qu’amie pas en tant qu’employée, comme Jennifer le précise. Jennifer, comme d’habitude, a fait attention à chaque détail ? Comme s’assurer qu’il y ait assez d’Oreos, de Reeses’s Pieces et de Cheetos à bord. Et peut-être un peu de tequila. « Eh bien, » dit Jennifer, « elle travaille dur, elle fait beaucoup la fête, elle a besoin de se relâcher un peu. »
 
Du côté des relations amoureuses, elle est célibataire en ce moment. Ce qui est bien. (L’an dernier elle est brièvement sortie avec le joueur de baseball Matt Kemp.) Enfin, en quelque sorte. « Je veux dire que, ça l’est d’une certaine manière parce qu’une relation amoureuse peut ressembler à une corvée, et ce n’est pas bon. Ce n’est pas ce dont j’ai besoin ? J’ai besoin d’un échappatoire parce que ce travail est quand même très prenant. Donc quand je dis que c’est bien, c’est bien de ne pas avoir à jouer la nounou. Toutefois, c’est chiant de rentrer à la maison seule après le travail pour se coucher dans un lit hôtel avec personne pour vous réveiller à moins que ce soit lié au travail. Mais ça n’a pas de sens de commencer quelque chose que vous allez arrêter, donc je ne précipite rien… »
 
Question bébés ? Oui, oui, évidemment elle en veut plus tard, elle adore complètement les enfants, idéalement en Barbade où elle a récemment acquis un grand terrain de terre. Pour le moment, bien que sa maison soit un appartement à LA (elle avait une maison, qu’elle avait acheté à la soeur de Jay Brown, mais c’était trop étalé, trop grand – « J’ai tout ce que je veux ici même ») avec une vue spectaculaire, un chandelier en forme de pistolet et un piano à queue dont elle ne sait pas encore jouer mais qu’elle aime avoir comme décoration.
 
Il y a une discussion à propos d’aller à Mahiki, l’autre endroit favori de Rihanna à Londres, mais je fais signe, et je fais un mouvement pour partir. « Quoiiiiiii, si tôt ? » dit Rihanna, se relevant de la banquette avec quelques difficultés parce que nous étions très serrés. « Mais c’était amusant ! »
 
Bonne fille. Bonnes manières. J’espère vraiment qu’elle va se reposer.

Au cours de la semaine dernière, une nouvelle rumeur est apparue sur Internet : elle concernait un nouveau duo entre Rihanna et « The Wanted », appelé « Jealousy », qui figurerait sur la réédition de leur dernier album. On apprenait de plus que Rihanna aurait participé à l’écriture de cette chanson. Le groupe britannique a confirmé la collaboration ce week-end lors d’une interview diffusé sur BBC2, en précisant juste que le titre serait disponible l’année prochaine. Que pensez-vous de ce nouveau duo ? Laissez-nous vos avis par commentaire !

nous avons appris ce soir que Drake prévoit de tourner un vidéo clip pour la chanson « Take Care ». Rihanna y fera-t-elle une apparition ? Nous en saurons sûrement plus dans les jours à venir.
 Rihanna a tweetée dans la nuit (vers 3h du matin - france) que le vidéoclip de You Da One serait peut-être disponible aujourd'hui, alors les Navys? Heureux?
 

« We Found Love » est définitivement le plus gros hit de Rihanna outre-Atlantique ! En effet, le titre a réussi a maintenir sa position de leader du Billboard Hot 100 pour une huitième semaine consécutive, battant ainsi le précédent record de notre chanteuse, détenu par « Umbrella » et « Love The Way You Lie » qui étaient restés sept semaines au sommet. De plus, « We Found Love » est la chanson qui est restée le plus de semaines en tête du classement aux États-Unis en 2011. Félicitations !

Au programme de ce nouveau jour de l’Avent, pas de quizz, mais des photos. Vous pourrez trouver dans la galerie trois nouveaux évènements : les coulisses de l’apparition de Rihanna à « Good Morning America » en 2010, le photoshoot réalisé pour l’émission « Saturday Night Live » de cette même année et pour les nostalgiques, un photoshoot de 2007 réalisé pour le magazine « US Weekly » :

Good Morning America - 2010 (cliquez sur les photos pour les agrandirs)

Saturday Night Live - 2010 (cliquez sur les photos pour les agrandirs)

US Weekly - 2007 (cliquez sur les photos pour les agrandirs)

La chaîne américaine MTV a dressé la liste des chansons ayant marqué cette année 2011. Sans surprise, Adele squatte la première place du classement avec «Rolling In The Deep», et Rihanna fait une apparition à la onzième place avec la chanson «We Found Love». On peut u trouvé également Drake avec son duo avec Rihanna "Take Care" en sixième place.

1. Adele, “Rolling in the Deep”
2. Girls, “Vomit”
3. Jay-Z and Kanye West, “Ni**as in Paris”
4. Lady Gaga, “Heavy Metal Lover”
5. Florence and the Machine, “Shake It Out”
6. Drake, “Take Care”
7. Bright Eyes, “The Ladder Song”
8. Nickelback, “Bottoms Up”
9. Beyoncé, “Love on Top”
10. Britney Spears, “Till the World Ends”
11. Rihanna, “We Found Love”
12. Foster The People, “Pumped Up Kicks”
13. LMFAO, “Party Rock Anthem”
14. Nicki Minaj, “Super Bass”
15. Lil Wayne, “6 Foot 7 Foot”
16. Washed Out, “Eyes be Closed”
17. YACHT, “Dystopia (The Earth Is on Fire)”
18. Chris Brown, “Beautiful People”
19. The Black Keys, “Lonely Boy”
20. Lykke Li, “Get Some”
21. Demi Lovato, “Skyscraper”
22. Gospel Music, “This Town Doesn’t Have Enough Bars for Both Of Us”
23. Kreayshawn, “Gucci Gucci”
24. Against Me!, “Russian Spies”
25. Nicola Roberts, “Beat of My Drum”